©photo Pascale Leprince-Ringuet
Bonnes pratiques de résolution non-violente de conflits en milieu éducatif (formel et non formel)
En
2002, encore à l’Unesco, j’ai édité ce petit livret qui a circulé en beaucoup
de pays grâce à ses versions en anglais, français et espagnol, et qui est épuisé depuis.
J’étais, à ce moment, responsable des programmes et des pratiques d’éducation
non-violente à l’école et en dehors de l’école. Ce qui me tenait à cœur à
l’époque, et qui encore me plait, était de valoriser la dimension de créativité
dont toutes ces pratiques en font preuve, avec leur capacité d’inventer et de
s’amuser avec les gens, les enfants, les éducateurs, les parents.
2002, encore à l’Unesco, j’ai édité ce petit livret qui a circulé en beaucoup
de pays grâce à ses versions en anglais, français et espagnol, et qui est épuisé depuis.
J’étais, à ce moment, responsable des programmes et des pratiques d’éducation
non-violente à l’école et en dehors de l’école. Ce qui me tenait à cœur à
l’époque, et qui encore me plait, était de valoriser la dimension de créativité
dont toutes ces pratiques en font preuve, avec leur capacité d’inventer et de
s’amuser avec les gens, les enfants, les éducateurs, les parents.
La
plupart de ces pratiques ont depuis pris de l’essor, comme la CNV qui est
aujourd’hui assez connue en France et dans le monde entier. Mais il y en a
encore trop nombreuses qui ne sont pas suffisamment pratiquées, comme la médiation qui devrait, à mon avis, être intégrée (tout comme la CNV !) et rendue obligatoire dans les
programmes scolaires.
plupart de ces pratiques ont depuis pris de l’essor, comme la CNV qui est
aujourd’hui assez connue en France et dans le monde entier. Mais il y en a
encore trop nombreuses qui ne sont pas suffisamment pratiquées, comme la médiation qui devrait, à mon avis, être intégrée (tout comme la CNV !) et rendue obligatoire dans les
programmes scolaires.
Voilà, pour égayer votre semaine, mon petit cadeau d’un lundi de mars froid et pluvieux…